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- samedi 05 mai 2007lien permanent
Le bengali couine son contentement matinal en voletant d’un perchoir à l’autre. Tic-tac intemporel de la pendule de la cuisine que le soleil tente subrepticement d’illuminer. Tout est calme, comme suspendu. Dedans, dehors, un.
Toujours intriguant de constater des visiteurs négligeant d’apprécier les pastels originaux mais longuement affairés à éplucher les press-books !
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