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- mardi 29 avril 2008lien permanent
A peine arrivé, déjà assis sur ma chaise, face au Ventoux et au soleil.
Aucun bruit de la ville, ici, la nature à découvert, dans son immensité silencieuse, sa plénitude.
Pas de vent pour l’instant. Rare !
Bon de se réchauffer au soleil.
Tout semble comme en apesanteur. Immobile. Tranquille. Paisible.
Le paysage devant, comment le peindre ?
Pastel : « Etude de la Vallée de la Rouvière au pied du Ventoux »
Le vent s’est remis à souffler.
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